AU SECOURS

C'était une belle journée ensoleillé, les oiseaux sortait profiter du vent léger pour se rafraîchir et se laisser porter par le vent. Les gens avaient chaud, mais avaient l'habitude, ainsi, leurs odeurs ne leurs étaient pas désagréable. Ce n'était pas comme Mahorro, car il venait rarement en ville, seulement pour des contrats. Il dut se retenir de se boucher le nez mais ne put réprimer de faire une moue car l'odeur était presque insupportable pour son nez de dragon. Soudain, son odorat capta un parfum enchanteur, doux et délicat, agréable a sentir. N'ayant rien a faire pour l'instant, Mahorro suivi cette charmante flagrance qui le mena a une femme prit avec un garde saouls mort qui volait l'a forcer.

Souriant à moitié car venir a bout de cette énergumène allait être un jeu d'enfant. S'approchant par derrière du garde, Mahorro fit cela vite mais silencieusement. Il glissa un couteau sous la gorge du garde et la lui trancha. Puis, il fit comme si il supportait le garde et dit à voix haute:

« ouf... vous ne tenez plus debout, venez par ici mon gaillard... »

sur ce, il abandonna le cadavre dans une ruelle et marcha en direction de cette femme belle et envoûteuse. Il renifla subtilement l'air pour se délecter de ce parfum délicat, mais fronça légèrement les sourcils lorsqu'il y sentit l'odeur d'un démon. Prenant un air supérieur, il lui sourit sadiquement et lui dit:

« que faite vous ici sans garde pour vous protéger? Cela est imprudent! »

Le monde ne prêtais bien peu d'attention au petit incident qui venait de ce produire, ainsi, ils continuèrent de se promener. Les vendeurs criaient a qui le voulait que leurs produits était le meilleur et qu'il était le moins chère. Les personnes n'écoutaient pas plus et continuaient leur chemin. N'hésitant pas à bousculer pour se frayer un chemin dans toute cette cohue. Les pick pocket (les voleurs quoi) se mêle avec joie dans tous ce brouhaha car c'était plus aisé voler ainsi! Mahorro voyait bien que la dame faisait un gros drame, mais cela ne le dérangeais guère,tant qu'ils n'attiraient pas l'attention des autres gens! Dès qu'il entendit les mots combler et désirs, l'homme dragon figea une fraction de seconde. Mais n'eus pas le temps de dire ou faire quoi que ce soit car la demoiselle se jeta dans ses bras et ce mit à se plaindre de la trop grande chaleur. Mahorro resta perplexe un instant mais réagi vite car les commerçants et les passants commerçant commençaient à s'attrouper autour d'eux. Pour bien faire et déguerpir au plus vite d'ici, il lui répondit:

« je vais vous emmener chez moi, ou vous serez au frais »

Sur ce, il fit signe à l'esclave de se tasser pour qu'il puisse prendre la belle demoiselle dans ses bras muscler à souhait. Puis, sur un ton bête il lui dit (à l'esclave):

« où habitez vous? »

La réaction isolante et brusque de l'esclave frustra au plus haut point Mahorro. Comment un humain osait-il parler ainsi à un homme dragon, alors qu'il n'était qu'un simple humain sans pouvoir, sans force et garce, sans rien finalement qui puisse lui permettre de vaincre une race aussi belle et redoutable qu'était celle des homme-dragon. Pour Mahorro, c'était un affront, une injure. Il prit donc une grande inspiration pour ne pas se transformer dans cette ville puante et se concentra sur la dame qui avait perdue connaissance dans ses bras. Soupirant, Mahorro n'avait nul autre choix que de se téléporter s'il voulait avoir le temps de rattraper cet insecte. Le jeune homme pensa au dernier endroit où il avait été, dans une maison en l'occurrence et s'y téléporta, disparaissant de la rue, lassant pour seul trace de son passage ses vêtements.

Mahorro apparut, nu comme un vers, dans la maison d'un homme riche qui était partit pour 2 mois. L'homme dragon y était entrer par effraction pour en apprendre plus sur lui. Bref, il déposa délicatement la dame au parfum enivrant sur le lit immense et moelleux, la regarda quelque seconde, l'air de dire: j'en profite tu ou pas?. Puis, disparut à nouveau, il avait un compte à régler.

Le jeune homme réapparut derrière l'esclave qui se trouvait seul.

*Parfait*

songea t'il. Puis, se rendant compte de sa nudité, il se transforma en dragon d'un rouge flamboyant. D'un coup de pattes, il envoya promener l'esclave sur un mur et l'aplatit au sol pour lui montrer ses belles dents blanches et tranchantes.

« comme on se retrouve! »

lui dit t'il sur une voix grave et démoniaque. Sur ce, il lui arracha la tête et le mangea. Satisfait, Mahorro se retransforma en humain et se téléporta dans la maison, mais ne vit nul part la délicieuse demoiselle dans le lit...

(hj: O_O wow...lol, juste une remarque, comment connais tu mon nom? Mon perso ne te l'as pas dit!)

Mahorro ne ressentait aucune gène d'être nue...lorsqu'il était seul ou en compagnie d'autres mâle, qu'il soit humain, démon ou un monstre quelconque. L'homme animal ne put retenir un haussement de sourcil lorsqu'il vit la charmante demoiselle le dévorer du regard, pas qu'il avait honte de se retrouver nu comme un vers, mais le regard de la demoiselle en disait long sur ce qu'elle pensait! Comme il voulut se diriger vers la commode pour « emprunter » quelque vêtements, une émotions puissantes lui prit d'un coups le coeur, lui coupant presque le souffle.

Voyant la charmante inconnue se diriger vers lui en enlevant la robes presque parfaite qu'elle avait, Mahorro un un frisson qui lui parcourue le corps car il se doutait de la suite des événements. L'odeur des roses lui emplit les narines et ses pensées, le rendant à moitié ivres de cette odeur enchanteresse. Hypnotiser par les lèvres de la belle inconnues, l'homme dragon dut se faire violence pour ne pas lui sauter dessus et reprendre un peu le dessus de cette émotion qui lui emprisonnait le coeur:

« euh...vous ignorer tout de moi et vous semblez... disposée à faire... quelque chose que vous risquer de regretter dans les secondes à suivre! »

lui dit t'il, cherchant non sans peine, ses mots. Pour être franc, Mahorro essayait de se contrôler pour ne pas se transformer en dragon, cela risquerait d'être regrettable.

Présentement, la femme qui se trouvait devant lui, n'ayant comme seule habit sa peau parfaite et parfumée, qui donnait envie de la prendre et de l'embrasser partout, était la seule chose qui occupait ses pensées. La beauté de la demoiselle était à couper le souffle. Mahorro était hypnotiser par la voix tendre et attirante de la belle étrangère. Son corps tout entier fut parcourue d'un frisson lorsqu'elle glissa sa main sur son torse pour descendre plus bas. Il ne résistait en aucun cas car il adorait et ne voulait en aucun cas arreter la suite des événements. Pour répondre à la question de la femme enchanteresse, mahorro dut faire des effort pour se concentrer et lui dire:

« unir nos corps? Je ne vois pas de problème à cela! »

sur ce, il l'enlança, lui déposant de petit bisou dans le cou. S'imersant dans cet exquise odeur de rose. Mahorro n'avait qu'une idée en tête, et elle concernait cette femme. Mahorro s'arreta une fraction de seconde lorsqu'elle lui dit qu'il était amoureux. Il se contenta de faire glisser ses mains le long de son dos (à elle) et de continuer de l'embrasser dans le cou.

Mahorro avait passer une très bonnes nuits. Il était réveiller depuis un bon moment déjà, mais il avait décider de paresser, chose qu'il n'avait encore jamais fait. Ainsi, il en profitta pour ''observer'' Ijimeru en cachette, écoutant ses moindre mouvements, ses moindres déplacements. Elle était dans la cuisine et préparait quelque chose à l'odeur plus que délicieux. Mais, il ne daigna pas bouger pour montrer signer qu'il était réveiller, il préféra continuer de jouer le jeu. Lorsque la femme lui flatta les cheveux, Mahorro eu le goût de la prendre et de... mais ne fit rien en voyant la dame se mettre à pleurer. Il ne voulait pas être mêler à ça, être obliger de dire des choses pour calmer la demoiselle. Pleurer était pour lui, juste pour les faibles...

Il fit le sursaut quand il entendit tout d'un coup Ijimeru se facher. Que devait-il faire? Poussant un soupir, il ouvrit les yeux, résigner et observa la déclicate et enchenteresse créature qui se trouvait à coter de lui.

« qu'est ce qui se passe? »

Il lui avait dit cela avec un ton un peu las et fatiguer, mais Mahorro lui sourit et posa sa main sur la joue de la déesse.