Paradis d'or

Un champ d'or à perte de vu.
Comment ils s'étaient retrouvé devant un tel spectacle elle l'ignorait. Elle avait suivi la route que sa mère avait tracée pour elle. Était-ce un hasard qu'elle s'y retrouve, elle ne savait pas, mais pour le moment, elle s'en fichait royalement. Elfrelle s'extasiait devant ce décor digne des plus grands rois. Le soleil venait se refléter sur chaque brindille, créant un splendide mélange d'or se perdant dans une mer d'azur. Jamais elle n'aurait cru qu'une telle couleur se manifeste d’une autre façon que par un métal.

Son regard contemplait l'endroit où ils avaient débouché. Voilà quelques instants à peine, elle et Aline se situaient encore entre de grands arbres imposants. Et voici que, plus d'arbres, juste de l'or, une vision séraphique. Aucune autre plante ne venait briser ce tableau parfais. Même le soleil semblait tout faire pour faire de ce décor le plus splendide. Il commençait même à décliner légèrement pour ajouter davantage de teintes. Le ciel azuré se teintait de nouvelles nuances. Du jaune et un léger rose se mettaient de la partie, formant un mélange sublime.

"C'est... c'est magnifique..."

La fée s'adressait davantage à sa personne qu'au furet, mais une partie de ses mots lui était destiné. Elle lui parlait comme s'il pouvait saisir ses paroles. En fait, elle ignorait s'il en était capable, mais elle aimait à penser que oui. La femme lui avait toujours parlé de la sorte, comme s'il était davantage qu'un animal, mais un confident, un confident silencieux et pour le moins adorable.

Le blé lui arrivait un peu plus haut que la taille, juste la bonne hauteur pour qu'elle puisse encore voir devant elle et se perdre dans cet océan. Ses mains effleuraient doucement le haut des plan, lui procurant une sensation des plus agréable. À chaque nouveau mouvement, Elfrelle se retenait de ne pas rire, ses paumes chatouillées par le blé. Une envie soudaine de chanter et de danser dans ce champ traversa son esprit. Elle se retint malgré elle de danser, mais elle laissa libre cour à la chanson qui trottait dans sa tête. Le champ fut inondé d’une voix cristalline, la voix d’une fée.

Le ciel se couchant rendant le spectacle du champ de blé époustouflant, Amy li ann ne voulut pas y entrer, ne voulait pas y laisser des traces de sang dans ce champs tout d'or fait. Elle s'arreta de courir, regardant le champ de ses yeux rouyges, ébloui de tant de pureter dans une simple plante. Elle se saurait cru devant un lit d'or géant, et pour un dragon, tout le monde le sais, c'est le paradis. Amy voulut faire un pas, entré, se fondre dans cette merveille,mais elle ne bougea pas, trop faible. Elle tenait son épaule gauche avec sa main droite et celui-ci saignait abondament, on pouvait presque voir l'os de son épaule. La jeune fille dragon respirait avec difficulter, tant elle avait couru. Elle avait le visage baigner de sueur et de sang autour de sa bouche. Ses jambes étaient intactes, recouvert d'écaille de dragon rouge qui disparaissaient peu à peu, car le danger était passer, mais elles tremblaient. Amy li ann poussa un petit gémissement, à peine perceptible, car elle sentit une nouvelle douleur. Elle venait de ses cotes de droites. Regardant les dégâts, Amy faillait hurler de rage mais ce retint. L'on pouvait voir un bout de flèche, bien enfoncer dans sa chaire. Comme elle posa sa main sur la flèche pour la retirer, Amy entendit un chant, elle arreta son geste, tous ses sens en alertres.

*ce n'est pas une voix humaine, ça c'est sur*

Regardant dans le champ, Amy vit une femme qui chantait se promenait dans le blé. Elle remarqua aussitôt l'odeur qui l'accompagnait, une odeur innocente, joyeuse et vivante. Cela ne faisait aucun doute maintenant, rassurer, Amy li ann se concentra à sa futur tâche, qui allait s'avérer douloureuse et enragente.

*une fée, je n'ai pas vraiment grand chose à craindre d'elle*

Prenant son souffle, elle retira d'un coup le bout de flèche et, ne pouvant se retenir, elle grogna. Pas comme un humain, mais comme un dragon, faisant légèrement trembler le sol. Ses genoux la lâchèrent, elle tomba par terre, les larmes aux yeux, respirant rapidement.

Sa silhouette fine disparue dans le blé, enveloppée d'or. Le cœur de la fée battait la chamade. Pourquoi fallait-il qu'un être vienne briser sa joie? Pourquoi ne pouvait-elle pas se retrouver seule dans ce coin de paradis? Ses pensés étaient confuses. Devait-elle fuir ou aller voir de quel genre de créature il pouvait bien s'agir. Quand Aline avait bougé dans son cou pour lui signaler une présence. Elle n'avait fait que se retourné vivement pour ensuite se caché. La fée n'avait que le temps de voir une silhouette, silhouette qui lui avait semblé être celle d'une femme. Comment en être certaine?

Un long frisson parcouru son échine quand, non pas un cri de douleur, mais un rugissement s'éleva au dessus du champ.

*À quoi suis-je donc confronté?*

Elle n'haussait plus bouger, figée par la peur, la peur de se voir enfermé à jamais. Peut-être cet être, même si elle ne l'avait qu'entrevu était-il comme ces hommes qui lui avaient tant voulu de mal. Les yeux fermés, Elfrelle tentait d'entre cet inconnu. Elle percevait quelques gémissements de douleurs et le vent se faufilant dans ce paradis d'or. Les battements de son cœur redevenaient normaux, son esprit plus lucide. Il lui suffisait de partir discrètement sans trop faire de bruit et elle n’entendrait plus jamais parler de cette personne.

La fée s'apprêtait à exécuter son plan quand Aline quitta son cou, poussé par sa curiosité. Elle se maudit intérieurement, car elle ne pouvait partir sans lui, non, cela lui était impossible. Sa poitrine se soulevait de nouveau avec rapidité. Son corps en entier se paralysa quand l'herbe ondula devant sa personne. Venait-on la chercher pour l'enfermer? Était-ce à ce moment que sa liberté prendrait fin?

Un museau se faufila à travers le blé. Aline était devant elle. Quel fut son soulagement. Mais il y avait quelque chose d’étrange chez le furet. La petite créature était agitée. Que voulait-il? La fée compris. Il voulait qu’elle le suive, mais pourquoi. Vu l’insistance avec laquelle Aline la regardait, elle n’hésita pas plus longtemps.

Une vision atroce s’offrit à elle. Une femme ensanglantée. Du sang s’écoulait de son épaule ainsi que du côté droit de son abdomen. Elfrelle regardait la nouvelle venue, stupéfaite de trouver quelqu’un dans un si mauvais état. Autant de sang, trop de sang.

Son sang battait la chamade, lui battait les tempes ainsi que la tête. Amy li ann pouvait entrendre les battement de son coeur. Elle voulut bouger, amis aucun membre de son corps ne l'écouta. Esseyant de respirer, elle ne put prendre une boucher d'air frais, elle ne pouvait plus inspirer, la panique la gagna. Ses poumons étaient en feu, ils lui demandaient de l'airs. Rentrant ses doigts-griffes dans le sol, labourant la terre, Amy prit une grande inspiration,mais s'étouffa dans son sang. La jeune femme dragon toussa pour le faire sortir des ses poumons. Sans qu'elle le veuille, un sons sortit de sa gorge, un gémissement d'animal blesser gravement. Continuant de prendre son souffle, elle cracha de moins en moins de sang. Mais le sommeil commença à la gagner:

*je ne dois pas m'endormir, me laisser faire ou je mourrais*

pensa t'elle. Comme elle voulue s'assoir, elle entendit des pas, mais tellement léger qu'un bruissement de feuilles, ou le vent qui souffle doucement aurait fait plus de bruit. Amy li ann releva sa tête d'un coup et elle vit la silouhette d'une demoiselle qui la regardait, à ses côter, un furet. Sa vue commença à se brouiller, elle secoua sa tête pour la retrouver. Il fallait qu'elle dorme, qu'elle trouve un endroit sécuritaire pour qu'elle puisse s'endormir, se coucher pour faire le sommeil réparateur des dragons. Amy li ann ne savait pas quoi faire, elle était trop faible pour trouver une cachette seule, amis ne pouvait se résigner à faire confiance à cette jeune fille. Avant qu,elle eu le temps de penser ou dire quoi que se soit, un rugissement de dragon se fit entendre au loin.

"je ne l'ai donc pas tuer"

dit elle à voix basse. Amy se tourna vers la créature qui se trouvait devant elle, Amy savait que ce n'était pas une humaine ou une elfe qui se trouvai en face d'elle car elle n'avait pas la même odeur. Elle lui dit, tout bas, presque en murmurant:

" aide moi..."

L'aider, mais comment? Que devait-elle faire? Malgré toutes ses interrogations, un rugissement horrible eu raison de toutes des questions et doutes. Elle ne voulait surtout pas se trouver sur le chemin de la chose qui venait de hurler de la sorte, surtout pas. Elle ne pouvait pas non plus laisser cette pauvre femme à la merci de la créature non plus.

Elfrelle consulta son petit compagnon comme elle le faisait si souvent. Comme toujours, ses prunelles eurent raison d'elle. La fée poussa un soupir. Aucun sourire n'illuminait plus son visage. La situation était grave. Elle se devait de réagir rapidement. La vie de cette inconnue était en jeu.

La fée observa la femme devant elle. Elle avait de la difficulté à respirer et le sang ne s'était toujours pas arrêté. Non, elle se devait de l'aider. La jeune femme s'avança vers la blessé et s'agenouilla à ses côtés, un sourire rassurant sur le visage.

"Je t'aiderai."

Trouver un endroit où se cacher, voilà ce qu'elle devait faire avant tout autre chose. Le rugissement qui avait retentit plus tôt n'était pas de bonne augure.

*Se cacher se cacher!!*

Vu l'état dans lequel était cette pauvre femme, elle ne pourrait certainement marcher. Cela devait dire qu'elle devrait le porter. Comment ferait-elle cela? Aline ne pourrait pas non plus l'aider dans cette tâche. Ses bras, voila comment elle allait y arriver.

Elfrelle se plaça derrière la femme et passa ses bras sous ses aisselles. Dans un effort de volonté, elle réussit à la traîner. Combien de temps réussirait-elle à faire cela, elle l’ignorait, mais elle espérait avoir amplement de force pour s’éloigner de ce qui avait poussé ce cri à glacer le sang. Aline courrait devant elles à l’affut d’une cachette.

N'ayant presque plus de force, elle se concentra pour rester éveiller. Amy li ann voyait bien que la créature se demandais ce qu'elle allait faire. Le sol trembla, faisant bouger la terre et les arbre autours d'elle. Cette secousse réveilla son côter dragon, son côter sauvage, celui où l'instinc de survie est très puissant. Amy eu une poussé d'adrélanile. Ce qui l'aidait è rester éveiller et de mintenir une presson sur sa blessure sur l'abdomen. La jeune dragone releva la tête pour voir ce que faisait la demoiselle, mais ne la vit pas. Craigant d'être seul face à ce monstre dans un si piteux état, Amy li ann regarda autours d,elle paniquer, mais vit la créature s'agenouillé à ses côter et lui dire ce que Amy li ann n'avait jamais entendus, ces paroles, elle ne les connaissait pas. Personne, surtout pas dans une tribu dragon aiderait un autre dragon. Ces simples mots firent comme un baume sur le coeur de la jeune femme dragon.

*ce dut être comme ça que mon petit frère dut se sentir...*

pensa t'elle. Se sentant soulever, elle remarqua que la fée la trainait, elle eu une douleur croissante dans son épaule blesser, mais ne dit mot. Regardant ou et comment prograissait la bête bleue. Finalement, Amy li ann dut faire apel à son pouvoir de la nature pour trouver une cachette. Mais s'évanouit, ça lui avait demander trop de fore. Son instinct, refusant d'abandonner, Amy se réveilla et vit, entre 2 énormes rochers, une faille qui s'enfonçait dans la terre. Avec son seul bras valide, elle pointa cette mince chance de s'en sortir du doigt. Il y eu de nouveau, le rugisement, il fallait faire vite...

*Une cachette et vite!*

Le corps de la femme devenait de plus en plus lourd à porter. Étant une fée, pourquoi aurait-elle dû avant ce jour porter de lourde charge. Sa mère ne l'avait pas fait avec des bras d'acier ni avec tous ces atouts qui donne de la force à ceux qui les ont. Non, la nature lui avait offert un corps frêle sans grande force physique. À quoi bon lui aurait-il servit de changer ce que la nature lui avait donné?

La terre tremblait, les rugissements se faisaient entendre avec davantage de ferveur. La peur la gagnait. Ses pas devenaient moins sûrs, mais également plus rapides. L'adrénaline prenait possession de son corps. Son esprit ne cherchait plus à savoir de quelle genre de bête il pouvait bien s’agir, cela lui importait peu pour le moment. Il n’y avait plus qu’une chose, une unique, dénicher un lieux sûr.

Si la jeune femme ne lui avait pas indiqué, avec le peu de force qui semblait lui rester, une faille dans la pierre, elle aurait passé son chemin sans un mot. La peur la submergeait, ses yeux se brouillaient par la panique.

Sans attendre, Elfrelle bifurqua vers cette cachette qui était la bienvenue. Devant elle, Aline ouvrait le chemin. Avant même qu’elle n’y entre la petite créature avait eu le temps d’inspecter les lieux, mais surtout de se trouver un petit recoin où se mettre en boule.

La fée pria en silence, pria que sa mère les cache de ce qui pouvait bien être la cause de sa peur, de ce qui faisait trembler ainsi le sol et dont le cri perçait les cieux. Elle pria qu’elle les dissimule en son sein, qu’elle cache leur présence pour un moment. Y avait-il un lien entre la créature à l’extérieur et cette jeune femme? Cette question traversa l’esprit de la fée. Était-ce cette même bête qui avait meurtrie ainsi la femme dans ces bras?

Elfrelle appliquait une pression sur la blessure dans l’abdomen de la femme. C’était pour le moment tout ce qu’elle pouvait faire. La peur l’empêchait de faire tout autre mouvement. Les yeux fermés, elle espérait, espérait pouvoir sauver cette femme et ne pas se faire repérer.

Le noir total, l'inconscience comme disait certains, n'était pas si mal que ça. On ne voyait rien, n'entendait rien, ne sentait rien physiquement. Quelle sensation bizarre mais apprécier après tant de mouvement, de combat, de souffrance physique. Amy se sentait bien, le coeur léger, sans soucis, n'y vrainte, ni chagrin. C'est comme si elle était ivre, sans avoir bu, sans ces moments de gênes. Elle se sentait en sécurité, comme lorsqu'elle était encore dans un oeuf, avant qu'elle ne doit se battre pour survivre. Amy se laissa plus aller dans cette univers pacifique et doux, mais son instinct de dragon, son côter sauvage et violent lui disait de ne pas y rester, que c'était dangereux.

Soupirant, Amy li ann ouvrit doucement ses paupières pour voir ce qui se passait, où elle se trouvait. La première chose qu'elle remarqua fut la douleur à son épaule. Une douleur aigue, qui devenait de plus en plus insupportable, on aurait dit qu'on lui arrachait des lambeaux de chairs une par une. Une autre douleur à l'abdomen suivit, moins forte mais plus graves apparut doucement. La femme dragon ne put retenir un autre soupir, mais celui-ci était de découragement. Remarquant qu'elle se trouvait dans un endroit restreint, avec une autre créature...non, deux autres créatures dont une que sont flair ne reconnaissait pas. Bougeant légèrement la tête pour voir qui lui fesait pression sur le ventre, Amy sentit le sol trembler. S'immobilisant, écoutant avec attention, elle entendit un bruit imperceptible, à peine plus fort que le soufle d'un vent...

*il cherche ma trace! il essaye de trouver mon odeur!*

pensa t'elle. Paniquant, Amy fit appel au plante pour qu'elle dissimule son odeur ou, de préférence, la fait disparaître. Au bout de 10 minutes, on n'entendait plus la bête, même avec ses oreilles, la femme dragon n'entendait rien. Satisfaite, elle voulut se lever, mais son corps refusait de l'écouter. Se souvenant qu'elle n'était pas seule, Amy dit tout bas, murmurant à peine:

"...tu es toujours là? oui, bien sur, je sens ton odeur...et entend tes battements de coeurs...euh...cÇa risque d'être une drôle de question mais, de quel race es-tu? je suis curieuse, je n'ai jamais sentie une odeur comme la tienne..."

Puis, sentant la douleur à son épaule, elle rajouta:

"voudrais tu aller chercher de l'eau...il m'en faut si je veut guérir...?"

Panique
Voilà un mot qui définissait bien ce que la fée ressentait. Pourquoi la terre tremblait-elle? Sa mère était-elle en colère? Les éléments déferlaient-ils sur la terre?
La question de la femme à ses côtés la ramena à la réalité.

*De quelle race suis-je? Question étrange en effet.*

Elfrelle reprenait davantage ses esprits. La paix de la forêt l'envahissait de nouveau, faisant circuler une énergie nouvelle en son sein. Mère nature ne l'avait pas abandonné, comme elle l'avait toujours fait. Elle avait veillé une fois de plus sur sa fille.

- Vous devez connaître ma race, j'en suis même certaine. Je suis une fille de la terre, une enfant de la nature. Il en bien normal que mon "odeur" comme vous dites, ne vous soit pas familière. Je n'ai d'ailleurs moi-même pas eu la chance de croiser beaucoup de créatures de ma race.

La jeune femme regarda les blessures qui accablaient la pauvre humaine, enfin si s'en était bien une. Son apparence laissait croire que oui, mais ses prunelle d'un magnifique vermeille laissait croire autre chose. Mais pour l'instant, humaine oui non, elle était blessée.

Sans attendre plus longtemps, Elfrelle bondit sur ses pieds. Un sourire s'afficha sur son visage. Un sourire en parti faux et peu rassurant, mais tout de même présent, là que pour s'apaiser elle-même.

La peur lui tenaillait encore quelque l'estomac. Peut-être qu'en posant un pied hors de leur cachette se retrouverait-elle face à ce qui avait tant fait trembler le sol, ce qui hurlait tel le tonnerre. Non, sa mère la guettait, elle était en sécurité. Elfrelle reprenait un peu plus courage, mais de voir surgir la créature était toujours bien encré dans sa tête. Elle se devait d'être prudente, très prudente, se fondre à la nature.

Avant de laisser la femme avec Aline qui, comme sa compagne, laissait sa frayeur de côté, la fée la fixa.

- Les fées se dévoilent rarement à de quelconque pupilles, prenez cela comme un coup de chance.

Commença alors une chasse au liquide qui la charmait tellement.

Un nuage passa devant le soleil, le masquant un instant, mais passa pousser par le vent. Ne sentant plus de danger, les animaux avaient repris leurs habitudes, se promenant, volant, rampant. On pouvait entendre a nouveau les oiseaux gazouiller et les cigales faire entendre leurs chants, annonçant une journée chaude. La femme dragon resta allonger, écoutant la voix, plutôt mignonne de la jeune femme qui l'avait aider de cette situation, disons le, plutôt dangereuse. La dragonne fit le saut lorsqu'elle entendit la réponse de la petite créature. Une QUOI? Amy li ann crut mal avoir entendre, mais l'odeur ne la trompais pas, il y avait un subtil parfums pures et brillants des elfes, mais il y avait beaucoup d'autre. C'était donc ça une fée!

*hum...bonne odeur, plutôt agréable...est ce que cela a bon goût? est ce comestible? je devrais peut être y gouter...juste un petit morceau!?*

ne pus s'empecher de penser Amy, mais elle se reprit assez vite. Ayant quasiment honte d'avoir pus penser cela, mais la femme dragon souriait faiblement, riant presque car elle savait que c'était son côter dragon qui avait parler. La délicate fée l'avait sauver et c'était tout ce à quoi elle pensait? Amy li ann ferma les yeux, crispant son sourire, la douleur allait par vague, mais n'augmentais pas. C'était déjà ça! Une autre odeur vint lui titiller les narines, une odeurs de...furet!! cherchant a savoir d'ou elle venait, Amy tourna la tête, reniflant doucement, savourant, imaginant ce futur repas. Mais, elle dut se résigner que d'une odeur alléchante car la femme dragon n'était pas en était de faire le moindre mouvement...Amy attendit donc que la fée revienne avec de l'eau...Esseyant d'oublier sa faim et l'envie de fermer ses paupières...